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LES GRANDS PROJETS DU GOUVERNEMENT

Projet SIMANDOU
Le projet Simandou comporte trois composantes principales :
  • Un minerai de fer de 95 millions de tonnes par an à pleine production ;
  • Un chemin de fer trans-guinéen à environ 670 km de la concession à la côte ;
  • Un nouveau port en eau profonde au sud de Conakry, dans la préfecture de Forécariah.
Projets de friches industrielles du minerai de fer de Gaoual
  • Le projet bénéficiera des infrastructures ferroviaires des autres projets de bauxite de la région, donc les investisseurs bénéficieront des infrastructures existantes ;
  • Une demande accrue pour l’acier et l’automobile dans les marchés émergents de la Chine et de l’Inde ;
  • La présence des leaders du secteur tels que Rio Tinto et Vale en Guinée devrait permettre de réduire les coûts de transaction liés à l’exploitation de la mine.
Projet de renovation, d’extension et d’équipement de l’hôpital national Donka
De promouvoir la recherche en santé en vue de réduire la mortalité et la morbidité Du fait de sa position centrale et incontournable dans la carte sanitaire de la Guinée, ce projet revêt un caractère prioritaire pour l’amélioration de l’offre de soins au niveau de la ville de Conakry, mais aussi au niveau national.
Projet d’hydraulique villageoise dans les préfectures
La faiblesse de l’accès à l’eau potable engendre une charge de travail importante pour les femmes obligées de parcourir de longues distances à la recherche de l’eau, ce qui les empêche de s’occuper à d’autres tâches qui leur rapportent des revenus.
Construction de l’autoroute 2x2 voies Conakry-Mamou–PPP
Ville stratégique pour faciliter la liaison entre Conakry et de grandes zones agricoles, Mamou constitue également un carrefour vital pour l’ensemble du pays. Sa localisation en fait une porte de désenclavement pour des villes plus reculées et assurer l'écoulement d’une grande partie de la production agricole locale et donc bien entendu l’amélioration des chaînes de valeur du secteur.
Rehabilitation de routes nationales prioritaires – bailleurs
En 2012, 48% du réseau revêtu était catégorisé comme mauvais. Les routes n’ont en effet pas été entretenues pendant une vingtaine d’années, ce qui explique leur dégradation avancée.
Autres projets